Il faut qu’on parle de KEYO…
Après son recrutement récent dans l’écurie La Quarantaine, l’artiste montpelliérain semble poursuivre une ascension enclenchée depuis quelques années maintenant. Aujourd’hui nous revenons sur la jeune mais déjà impressionnante carrière du prodige de la scène hard techno.
Avant de creuser son sillon dans le paysage techno, KEYO s’est fait un nom sur la scène Acid avec des productions aussi grasses et mentales . C’est en 2020 que KEYO prend le virage de la techno avec une recette aussi fine que gourmande : une alliance de plages mélodiques et drops surpuissants qui sonne comme un exutoire mélancolique irrésistible.
KEYO c’est aussi un artiste qui a fait le pari de la qualité d’entrée de jeu. Tel un artisan, il façonne des morceaux indéniablement aboutis qu’il distribue par son propre réseau ou avec des labels notables tels que Taapion ou Dusk Records.
Artiste polyvalent, KEYO pose régulièrement sa voix sur ses morceaux et n’hésite pas à sortir des sentiers battus en touchant à des styles musicaux sur lesquels on ne l’attendrait pas comme la House avec son alias Eykos ou encore l’Indie Rock, source d’inspiration majeure de l’artiste montpelliérain.
Régulièrement joué par les boss de la scène techno tels que Trym, Shlømo, Amelie Lens ou encore Farrago, KEYO vient tout juste de sortir un remix pépite de Tame Impala mêlant la voix de Kevin Parker à la sienne. Une track parfaitement dans la veine nostalgique de l’artiste qui nous donne une étrange impression d’hymne de l’été.
Parfaitement en cohérence avec son univers, Loyce a répandu les veines de sa musique sur des labels tels que Lost Palms, sous-label du très réputé Shall Not Fade, 1Ø PILLS MATE, sous-label également de Lobster Theremin ou encore plus récemment Life in Patterns qui est le label de Ferdinger.
Des choix très minutieux car ces espaces de création et de partage baignent dans l’émotion.
Sur son dernier EP, Calm & Quiet par exemple, c’est la dynamique peak-time et les univers de la ghetto tech et du breakbeat qui prennent le dessus tout en laissant la patte singulière de Loyce imbiber chaque morceau… pour au final avoir un ensemble embrasé qui se révèle être en totale contradiction avec son titre.
Loyce réside désormais à Paris et est aux manettes de son propre label, Deviant Episode. Label qui comptabilise déjà 4 releases très qualitatives et sont les prémices d’un futur qui s’annonce radieux.
Après son recrutement récent dans l’écurie La Quarantaine, l’artiste montpelliérain semble poursuivre une ascension enclenchée depuis quelques années maintenant. Aujourd’hui nous revenons sur la jeune mais déjà impressionnante carrière du prodige de la scène hard techno.
Avant de creuser son sillon dans le paysage techno, KEYO s’est fait un nom sur la scène Acid avec des productions aussi grasses et mentales . C’est en 2020 que KEYO prend le virage de la techno avec une recette aussi fine que gourmande : une alliance de plages mélodiques et drops surpuissants qui sonne comme un exutoire mélancolique irrésistible.
KEYO c’est aussi un artiste qui a fait le pari de la qualité d’entrée de jeu. Tel un artisan, il façonne des morceaux indéniablement aboutis qu’il distribue par son propre réseau ou avec des labels notables tels que Taapion ou Dusk Records.
Artiste polyvalent, KEYO pose régulièrement sa voix sur ses morceaux et n’hésite pas à sortir des sentiers battus en touchant à des styles musicaux sur lesquels on ne l’attendrait pas comme la House avec son alias Eykos ou encore l’Indie Rock, source d’inspiration majeure de l’artiste montpelliérain.
Régulièrement joué par les boss de la scène techno tels que Trym, Shlømo, Amelie Lens ou encore Farrago, KEYO vient tout juste de sortir un remix pépite de Tame Impala mêlant la voix de Kevin Parker à la sienne. Une track parfaitement dans la veine nostalgique de l’artiste qui nous donne une étrange impression d’hymne de l’été.
Parfaitement en cohérence avec son univers, Loyce a répandu les veines de sa musique sur des labels tels que Lost Palms, sous-label du très réputé Shall Not Fade, 1Ø PILLS MATE, sous-label également de Lobster Theremin ou encore plus récemment Life in Patterns qui est le label de Ferdinger.
Des choix très minutieux car ces espaces de création et de partage baignent dans l’émotion.
Sur son dernier EP, Calm & Quiet par exemple, c’est la dynamique peak-time et les univers de la ghetto tech et du breakbeat qui prennent le dessus tout en laissant la patte singulière de Loyce imbiber chaque morceau… pour au final avoir un ensemble embrasé qui se révèle être en totale contradiction avec son titre.
Loyce réside désormais à Paris et est aux manettes de son propre label, Deviant Episode. Label qui comptabilise déjà 4 releases très qualitatives et sont les prémices d’un futur qui s’annonce radieux.
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