Le chant du cygne ou la dernière danse de DJ Varsovie…
Prince des campings, agitateur des dancefloors, riant aux visages incrédules des puristes, DJ Varsovie nous convie à son ultime voyage intergalactique. Une épopée aux confins de la nostalgie, pour nous étreindre une dernière fois… là où la maladie ne peut nous atteindre.
Le 09 juin prochain s’éteindra une des étoiles les plus chatoyantes de notre scène nationale. S’il sera resté dans l’ombre d’une partie du public, les plus aventureux d’entre nous qui ont goûté à ses compositions astrales auront connus un voyage gothique aux confins de la nostalgie.
Si ce n’est pas la facette la plus notable de l’artiste, DJ Varsovie a su distiller bon nombre de bangers pendant sa carrière. Avec une patte EBM aux relents gothiques, le vampire mélancolique a multiplié les collabs remarquées avec IHM, ABSL, Inside Blur ou encore cette praline intersidérale signée avec Illnurse.
Mais DJ Varsovie, c’est avant tout un univers qui raconte une quête affective universelle : la recherche d’un amour perdu. La quête d’un idéal qui aura laissé en nous une trace indéfectible.
Que ce soit dans ses propres productions ou en duo avec Blind Delon sur Été 97, DJ Varsovie, c’est avant tout un vampire à la poursuite de ses dernières bribes de souvenirs… fuyants les faisceaux trop réels de l’oubli.
S’envoler au-delà de l’oubli à bord d’un équipage de haut vol (NN et Incident Prism pour ne citer qu’eux) voilà la mission qui vous sera confiée le 09 juin à Petit Bain. Avec ce nouveau disque, Nostalgia 2032 et cette dernière représentation, DJ Varsovie nous emmène une dernière fois vers des horizons inexplorés, loin d’une sombre réalité qu’on ne veut pas entendre.
“La religion participe souvent du mythe du progrès qui nous protège des terreurs d’un futur incertain.” Frank Herbert.
Les collaborations (avec Trudge et Öspiel) tiennent aussi une place primordiale dans l’EP : celle de la projection. Un retour au présent parfaitement illustré par des atmosphères froides, aseptisées et des sonorités plus modernes… presque futuristes.
Loyce réside désormais à Paris et est aux manettes de son propre label, Deviant Episode. Label qui comptabilise déjà 4 releases très qualitatives et sont les prémices d’un futur qui s’annonce radieux.
Prince des campings, agitateur des dancefloors, riant aux visages incrédules des puristes, DJ Varsovie nous convie à son ultime voyage intergalactique. Une épopée aux confins de la nostalgie, pour nous étreindre une dernière fois… là où la maladie ne peut nous atteindre.
Le 09 juin prochain s’éteindra une des étoiles les plus chatoyantes de notre scène nationale. S’il sera resté dans l’ombre d’une partie du public, les plus aventureux d’entre nous qui ont goûté à ses compositions astrales auront connus un voyage gothique aux confins de la nostalgie.
Si ce n’est pas la facette la plus notable de l’artiste, DJ Varsovie a su distiller bon nombre de bangers pendant sa carrière. Avec une patte EBM aux relents gothiques, le vampire mélancolique a multiplié les collabs remarquées avec IHM, ABSL, Inside Blur ou encore cette praline intersidérale signée avec Illnurse.
Mais DJ Varsovie, c’est avant tout un univers qui raconte une quête affective universelle : la recherche d’un amour perdu. La quête d’un idéal qui aura laissé en nous une trace indéfectible.
Que ce soit dans ses propres productions ou en duo avec Blind Delon sur Été 97, DJ Varsovie, c’est avant tout un vampire à la poursuite de ses dernières bribes de souvenirs… fuyants les faisceaux trop réels de l’oubli.
S’envoler au-delà de l’oubli à bord d’un équipage de haut vol (NN et Incident Prism pour ne citer qu’eux) voilà la mission qui vous sera confiée le 09 juin à Petit Bain. Avec ce nouveau disque, Nostalgia 2032 et cette dernière représentation, DJ Varsovie nous emmène une dernière fois vers des horizons inexplorés, loin d’une sombre réalité qu’on ne veut pas entendre.
“La religion participe souvent du mythe du progrès qui nous protège des terreurs d’un futur incertain.” Frank Herbert.
Les collaborations (avec Trudge et Öspiel) tiennent aussi une place primordiale dans l’EP : celle de la projection. Un retour au présent parfaitement illustré par des atmosphères froides, aseptisées et des sonorités plus modernes… presque futuristes.
Loyce réside désormais à Paris et est aux manettes de son propre label, Deviant Episode. Label qui comptabilise déjà 4 releases très qualitatives et sont les prémices d’un futur qui s’annonce radieux.
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